Clos Saouma / Lucien Lemoine
En 1989, Mounir quitte le Liban à l’âge de 22 ans, à l’occasion d’une des grandes secousses que ce pays a connu. Il vécut dans un monastère pendant sept ans à proximité de Jérusalem. C’est ici qu’il apprend à faire le vin, avec son oncle, qui était le père abbé.
Mounir apprend et travaille dans un monastère trappiste où il découvre le Chardonnay et le Pinot Noir. Il va étudier la viticulture et l’œnologie à l’ENSAM Montpellier. Ensuite, durant 6 ans il fera son expérience dans différents vignobles en Bourgogne, dans d’autres régions de France et de Californie où il deviendra fasciné par la « vieille façon » de cultiver, de vinifier et de vieillir les vins. Un jour, il décide de pousser à l’extrême tout ce qu’il a vu, vécu et créé, avec Rotem, une petite cave dédiée aux idées de pureté et de typicité. Lire plus
Rotem vient d’une famille de fromagers. Elle a étudié l’agriculture à la fois au Technion et à l’ENESAD à Dijon et a orienté ses études vers le vin. À la fin de son titre, elle a remporté un prix national de l’Académie française d’agriculture pour une étude sur la Côte d’Or. En effet, elle a participé à de nombreuses récoltes en Bourgogne et en Californie. C’est en 1999 qu’elle rejoint Mounir et décident de créer le Domaine Lucien Le Moine ensemble.
Les moines l’appelaient Lucien et ses copains, le moine. Par conséquent, avec Rotem, quand ils créent leur société, tout deux lui donne comme nom Lucien Le Moine. Aujourd’hui, ils vinifient environ 38 crus bourguignons. D’autre part, c’est une production limitée allant des appellations villages au grands crus. C’est pour cela que les bouteilles se vendent cher et partent comme des petits pains. Elles sont recherchées par les plus grandes tables étoilées de France et d’ailleurs. Grande qualité, précision dans l’élaboration, les fûts sont faits sur mesure et adaptés à chaque vin. Mounir et Rotem produisent également des vins la Vallée du Rhône avec le Domaine Clos Saouma / Lucien Lemoine